Dans le cadre des Assises Nationales de l’Intelligence Artificielle, organisées par le Ministère de la Transition Numérique et de la Réforme de l’Administration à l’Université Mohammed VI Polytechnique, M. Amine El Mezouaghi, Directeur Général de l’Agence de Développement du Digital (ADD), a pris part à la table ronde thématique intitulée "La réforme de l’administration : Quelle feuille de route à l’ère de l’Intelligence Artificielle ?".
Intervenant devant un public composé d’experts, de décideurs publics, d’universitaires et de chercheurs, M. El Mezouaghi a rappelé avec force que l’Intelligence Artificielle ne doit pas être perçue comme une fin en soi, mais comme un levier stratégique pour repenser la relation entre l’État et ses citoyens. "L’intelligence artificielle, bien maîtrisée, peut transformer profondément nos services publics pour les rendre plus modernes, plus simples, plus rapides, plus justes, en parfaite harmonie avec la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’Assiste, qui fait de la modernisation de l'administration des priorités stratégiques au service du développement du Royaume", a-t-il affirmé.
Il a ainsi mis en avant la capacité de l’IA à simplifier et personnaliser les services publics, en permettant d’anticiper les besoins, de réduire les délais et de fluidifier la relation entre l’administration et l’usager. Il a également souligné le rôle central de la donnée, qui doit être fiable, contextualisée et interopérable, pour permettre à ces technologies d’apporter un véritable gain de qualité et de pertinence.
Par ailleurs, M. El Mezouaghi a insisté sur la nécessité d’un cadre de confiance solide, fondé sur la transparence, la protection des données personnelles et la capacité d’audit des algorithmes, afin de renforcer l’adhésion des citoyens. Enfin, il a rappelé que la réussite de cette transformation passe impérativement par l’accompagnement humain, à travers la formation, la reconnaissance et l’engagement des agents publics.
M. El Mezouaghi a ainsi insisté sur la nécessité de replacer l’usager au cœur de cette transformation, à travers une gouvernance de la donnée exigeante et des principes éthiques solides. "Pas de modèle pertinent sans données fiables. Pas de personnalisation sans données contextualisées. Pas de confiance sans données éthiques", a-t-il résumé, tout en rappelant que l’IA ne pourra jamais remplacer les femmes et les hommes de l’administration, mais qu’elle transformera leurs métiers, leurs outils et leurs modes de décision.
"La modernisation de l’administration à l’ère de l’IA ne se décrète pas. Elle se construit, patiemment, avec méthode, courage et vision. Et cette vision doit rester fidèle à sa finalité première : remettre le citoyen au centre du service public", a conclu le Directeur Général de l’ADD.
Par ce message, il a appelé à dépasser les logiques de simple pilotage technologique pour privilégier une transformation globale, fondée sur la co-construction, l’expérimentation et l’adhésion des agents publics comme des citoyens.
Intervenant devant un public composé d’experts, de décideurs publics, d’universitaires et de chercheurs, M. El Mezouaghi a rappelé avec force que l’Intelligence Artificielle ne doit pas être perçue comme une fin en soi, mais comme un levier stratégique pour repenser la relation entre l’État et ses citoyens. "L’intelligence artificielle, bien maîtrisée, peut transformer profondément nos services publics pour les rendre plus modernes, plus simples, plus rapides, plus justes, en parfaite harmonie avec la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’Assiste, qui fait de la modernisation de l'administration des priorités stratégiques au service du développement du Royaume", a-t-il affirmé.
Il a ainsi mis en avant la capacité de l’IA à simplifier et personnaliser les services publics, en permettant d’anticiper les besoins, de réduire les délais et de fluidifier la relation entre l’administration et l’usager. Il a également souligné le rôle central de la donnée, qui doit être fiable, contextualisée et interopérable, pour permettre à ces technologies d’apporter un véritable gain de qualité et de pertinence.
Par ailleurs, M. El Mezouaghi a insisté sur la nécessité d’un cadre de confiance solide, fondé sur la transparence, la protection des données personnelles et la capacité d’audit des algorithmes, afin de renforcer l’adhésion des citoyens. Enfin, il a rappelé que la réussite de cette transformation passe impérativement par l’accompagnement humain, à travers la formation, la reconnaissance et l’engagement des agents publics.
M. El Mezouaghi a ainsi insisté sur la nécessité de replacer l’usager au cœur de cette transformation, à travers une gouvernance de la donnée exigeante et des principes éthiques solides. "Pas de modèle pertinent sans données fiables. Pas de personnalisation sans données contextualisées. Pas de confiance sans données éthiques", a-t-il résumé, tout en rappelant que l’IA ne pourra jamais remplacer les femmes et les hommes de l’administration, mais qu’elle transformera leurs métiers, leurs outils et leurs modes de décision.
"La modernisation de l’administration à l’ère de l’IA ne se décrète pas. Elle se construit, patiemment, avec méthode, courage et vision. Et cette vision doit rester fidèle à sa finalité première : remettre le citoyen au centre du service public", a conclu le Directeur Général de l’ADD.
Par ce message, il a appelé à dépasser les logiques de simple pilotage technologique pour privilégier une transformation globale, fondée sur la co-construction, l’expérimentation et l’adhésion des agents publics comme des citoyens.