Rahem, une plateforme qui redonne la parole aux femmes marocaines
Comment est née l’initiative Rahem et quelles expériences personnelles ont poussé ses fondatrices à s’investir dans cette cause ? Quels défis ont-elles rencontrés pour parler ouvertement des menstruations dans une société où ce sujet reste tabou ? À quelles résistances ont-elles dû faire face et comment parviennent-elles à encourager un dialogue inclusif et bienveillant ?
Nous explorerons également les nombreux mythes et idées reçues qui entourent les règles et qui ont encore un impact négatif sur la perception qu’en ont les jeunes filles, les femmes et la société en général. En partageant des contenus éducatifs, Rahem déconstruit ces fausses croyances et propose une approche pédagogique accessible et déculpabilisante. Instagram s’est imposé comme un outil privilégié pour toucher un large public, mais comment cette plateforme permet-elle réellement d’engager la conversation et de créer un impact social ?
L’engagement pour la santé menstruelle va bien au-delà du digital. Comment Rahem interagit-il avec sa communauté ? Quels témoignages ont particulièrement marqué ses fondatrices et renforcé leur conviction que ce travail est nécessaire ? Nous parlerons aussi des collaborations avec d’autres organisations et associations, du rôle des traditions et de la culture marocaine dans la perception des menstruations, et des stratégies mises en place pour adapter leur message à un public parfois réticent.
Un aspect essentiel de cette discussion porte sur l’implication des hommes dans ce combat. Dans quelle mesure peuvent-ils contribuer à la déstigmatisation des règles ? Quels efforts sont faits pour les inclure dans ces discussions ? Cette prise de conscience est cruciale pour un changement durable des mentalités.
Enfin, nous aborderons les ambitions futures de Rahem. Comment ses fondatrices envisagent-elles l’évolution de leur plateforme ? Souhaitent-elles élargir leur champ d’action au-delà des réseaux sociaux et explorer d’autres aspects de la santé reproductive ? Quelles leçons personnelles ont-elles tirées de cette aventure et quel message souhaitent-elles transmettre à celles et ceux qui voudraient s’engager dans la sensibilisation à la santé menstruelle ou à d’autres causes similaires ?
Nous explorerons également les nombreux mythes et idées reçues qui entourent les règles et qui ont encore un impact négatif sur la perception qu’en ont les jeunes filles, les femmes et la société en général. En partageant des contenus éducatifs, Rahem déconstruit ces fausses croyances et propose une approche pédagogique accessible et déculpabilisante. Instagram s’est imposé comme un outil privilégié pour toucher un large public, mais comment cette plateforme permet-elle réellement d’engager la conversation et de créer un impact social ?
L’engagement pour la santé menstruelle va bien au-delà du digital. Comment Rahem interagit-il avec sa communauté ? Quels témoignages ont particulièrement marqué ses fondatrices et renforcé leur conviction que ce travail est nécessaire ? Nous parlerons aussi des collaborations avec d’autres organisations et associations, du rôle des traditions et de la culture marocaine dans la perception des menstruations, et des stratégies mises en place pour adapter leur message à un public parfois réticent.
Un aspect essentiel de cette discussion porte sur l’implication des hommes dans ce combat. Dans quelle mesure peuvent-ils contribuer à la déstigmatisation des règles ? Quels efforts sont faits pour les inclure dans ces discussions ? Cette prise de conscience est cruciale pour un changement durable des mentalités.
Enfin, nous aborderons les ambitions futures de Rahem. Comment ses fondatrices envisagent-elles l’évolution de leur plateforme ? Souhaitent-elles élargir leur champ d’action au-delà des réseaux sociaux et explorer d’autres aspects de la santé reproductive ? Quelles leçons personnelles ont-elles tirées de cette aventure et quel message souhaitent-elles transmettre à celles et ceux qui voudraient s’engager dans la sensibilisation à la santé menstruelle ou à d’autres causes similaires ?