Au Maroc, près de 18,4 % des étudiants souffrent de migraines, avec une nette prédominance féminine. Les troubles du sommeil, le stress, l’anxiété et la pression académique figurent parmi les principaux déclencheurs.

Ces crises affectent la concentration, la performance et la vie sociale, jusqu’à provoquer un handicap sévère pour un quart des étudiants concernés. Les chercheurs recommandent un meilleur accompagnement via des programmes de dépistage, de soutien psychologique et des mesures de prévention comme un sommeil régulier et une bonne hydratation.

L’étude souligne aussi le rôle des facteurs hormonaux et des comportements préventifs dans la prévalence de la migraine.