🔹 Une ouverture qui a planté le décor
Dès 9h, les organisateurs ont donné le ton. Lors du mot d’introduction, les enjeux liés à la régulation du commerce en ligne et à la protection des données personnelles ont été clairement posés. À une ère où le digital transforme profondément les habitudes de consommation, les participants ont été invités à réfléchir aux nouvelles responsabilités des plateformes, des marchands, mais aussi des institutions.
⚖️ Panel 1 : Un cadre juridique encore perfectible
Le premier panel, modéré par Reda Taleb (CEO d’Officium Maroc), a réuni des représentants du ministère de l’Industrie et du Commerce, de la FNAC (Fédération des Associations de Consommateurs) ainsi que des juristes spécialisés. Ensemble, ils ont dressé un état des lieux du cadre réglementaire actuel, notamment autour de la loi 09-08 sur la protection des données personnelles et de ses liens avec le RGPD européen.
Les débats ont mis en lumière les limites persistantes en matière de lutte contre la cyberfraude, le manque d’information des consommateurs, et l’insuffisance des garanties offertes lors des transactions numériques. Les intervenants ont également rappelé l’importance de renforcer la participation des citoyens dans les processus législatifs pour un internet plus sûr et plus équitable.
🛍 Panel 2 : Paroles d’entreprises face aux cyberdéfis
Le second panel a pris le relais à 11h. Il a permis d’entendre les voix de dirigeants emblématiques de l’écosystème digital marocain : Badr Bouslikhane (Jumia Maroc), Wahb Dahak (SWAM), Ismael Belkhayat (Chari.ma), Achraf Lemnini (Share Conseil) et Badr Bellaj (Mchain). Tous ont partagé des retours d’expérience concrets sur les solutions mises en place dans leurs structures : protocoles de cryptage, authentification forte, audits réguliers, ou encore innovations basées sur la blockchain.
Les entrepreneurs ont aussi évoqué les difficultés rencontrées : pression réglementaire, attentes élevées des clients, coût des technologies de sécurité… Un échange riche, qui a montré que la cybersécurité ne relevait plus du simple luxe, mais bien d’une nécessité vitale pour maintenir la confiance du consommateur.
☕ Un networking nourri et informel
La matinée s’est conclue autour d’un déjeuner-buffet convivial, permettant aux intervenants et participants d’échanger de manière plus informelle. Ce moment de networking a renforcé les liens entre les acteurs publics, les experts et les entreprises autour d’une même conviction : l’avenir du commerce en ligne au Maroc passera nécessairement par une régulation robuste et une éthique partagée de la donnée.
Dès 9h, les organisateurs ont donné le ton. Lors du mot d’introduction, les enjeux liés à la régulation du commerce en ligne et à la protection des données personnelles ont été clairement posés. À une ère où le digital transforme profondément les habitudes de consommation, les participants ont été invités à réfléchir aux nouvelles responsabilités des plateformes, des marchands, mais aussi des institutions.
⚖️ Panel 1 : Un cadre juridique encore perfectible
Le premier panel, modéré par Reda Taleb (CEO d’Officium Maroc), a réuni des représentants du ministère de l’Industrie et du Commerce, de la FNAC (Fédération des Associations de Consommateurs) ainsi que des juristes spécialisés. Ensemble, ils ont dressé un état des lieux du cadre réglementaire actuel, notamment autour de la loi 09-08 sur la protection des données personnelles et de ses liens avec le RGPD européen.
Les débats ont mis en lumière les limites persistantes en matière de lutte contre la cyberfraude, le manque d’information des consommateurs, et l’insuffisance des garanties offertes lors des transactions numériques. Les intervenants ont également rappelé l’importance de renforcer la participation des citoyens dans les processus législatifs pour un internet plus sûr et plus équitable.
🛍 Panel 2 : Paroles d’entreprises face aux cyberdéfis
Le second panel a pris le relais à 11h. Il a permis d’entendre les voix de dirigeants emblématiques de l’écosystème digital marocain : Badr Bouslikhane (Jumia Maroc), Wahb Dahak (SWAM), Ismael Belkhayat (Chari.ma), Achraf Lemnini (Share Conseil) et Badr Bellaj (Mchain). Tous ont partagé des retours d’expérience concrets sur les solutions mises en place dans leurs structures : protocoles de cryptage, authentification forte, audits réguliers, ou encore innovations basées sur la blockchain.
Les entrepreneurs ont aussi évoqué les difficultés rencontrées : pression réglementaire, attentes élevées des clients, coût des technologies de sécurité… Un échange riche, qui a montré que la cybersécurité ne relevait plus du simple luxe, mais bien d’une nécessité vitale pour maintenir la confiance du consommateur.
☕ Un networking nourri et informel
La matinée s’est conclue autour d’un déjeuner-buffet convivial, permettant aux intervenants et participants d’échanger de manière plus informelle. Ce moment de networking a renforcé les liens entre les acteurs publics, les experts et les entreprises autour d’une même conviction : l’avenir du commerce en ligne au Maroc passera nécessairement par une régulation robuste et une éthique partagée de la donnée.












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