Baidu, le géant chinois, élargit son influence en lançant deux modèles d'IA gratuits visant à rivaliser avec des concurrents comme DeepSeek. Cela marque un pas significatif dans la démocratisation des outils de l'IA. Pendant ce temps, la startup Sesame fait un geste audacieux en rendant son modèle CSM-1B accessible sous licence open source Apache 2.0, ce qui pourrait catalyser l'innovation communautaire.

Cohere, une entreprise bien établie dans le domaine de l'intelligence artificielle pour entreprises, propose Command A, un modèle conçu pour répondre aux besoins des organisations, renforçant ainsi les solutions spécialisées. Par ailleurs, Hon Hai, connu pour être l'un des assembleurs clés de serveurs Nvidia, anticipe une augmentation significative de ses revenus en 2025, principalement grâce à l'explosion de la demande pour des infrastructures dédiées à l'IA.

Cependant, les enjeux ne se limitent pas au développement technologique. Les risques associés, comme ceux soulevés par un rapport concernant des tentatives de manipulation des principaux chatbots d’IA par un réseau de désinformation russe, mettent en lumière les défis de la fiabilité et de la sécurité dans l'écosystème numérique.

Parallèlement, les utilisateurs de Gemini bénéficient d'une interaction accrue grâce à la possibilité de connecter leurs historiques de recherche et leurs applications, ce qui optimise les capacités de personnalisation de cet assistant virtuel. Enfin, une question sensible émerge puisque OpenAI interpelle l'administration Trump et sollicite des précisions sur les règles autour de l'utilisation des œuvres protégées par le droit d'auteur dans l'entraînement des modèles d'IA, réaffirmant ainsi les tensions industrielles entre innovation et réglementation.