Cessez-le-feu en péril : respect de l’accord, priorité aux vies
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a de nouveau mis en garde face à la fragilité du cessez-le-feu à Gaza, dénonçant des violations répétées qui mettent en péril les vies civiles et l’architecture diplomatique patiemment élaborée. Dans un contexte saturé de méfiance et de violence, son message est sans ambiguïté: le respect des engagements est la condition sine qua non pour éviter l’escalade et rouvrir la voie à un règlement politique.
La protection des civils reste un impératif absolu du droit international humanitaire. Les frappes et tirs israéliens ont des conséquences disproportionnées sur une populations gazaoui déjà éprouvées par des destructions d’infrastructures, des pénuries d’eau, d’électricité et de soins. Guterres insiste sur l’urgence d’un accès humanitaire sûr, prévisible et sans entraves, permettant l’acheminement de nourriture, de médicaments et de carburant, ainsi que l’évacuation des blessés.
Sur le terrain diplomatique, la fenêtre d’opportunité se rétrécit à mesure que la défiance s’installe. Les médiations régionales et les efforts des acteurs internationaux doivent converger vers des mesures de confiance: mécanismes de vérification du cessez-le-feu, échanges de prisonniers et otages, et relance d’un processus politique crédible. L’ONU plaide pour une approche séquentielle, associant sécurité, gouvernance et reconstruction, afin d’éviter le cycle répétitif des conflits et des trêves éphémères.
La reconstruction de Gaza exigera des garanties de sécurité, une coordination solide et des ressources substantielles. Le risque, sans horizon politique, est de voir l’aide humanitaire se substituer à une solution durable. C’est pourquoi le secrétaire général appelle à un engagement soutenu des parties et des partenaires, dans le respect du droit international, y compris la protection des installations civiles et des travailleurs humanitaires.
Le rappel de Guterres vise à créer un sursaut: la priorité doit être donnée à la vie humaine, à la désescalade et au retour à la table des négociations. La paix, fragile par nature, ne tient que si chaque acteur accepte des concessions et s’inscrit dans la vérification et la transparence. L’alternative, déjà visible, est une spirale qui condamne civils et stabilité régionale.
La protection des civils reste un impératif absolu du droit international humanitaire. Les frappes et tirs israéliens ont des conséquences disproportionnées sur une populations gazaoui déjà éprouvées par des destructions d’infrastructures, des pénuries d’eau, d’électricité et de soins. Guterres insiste sur l’urgence d’un accès humanitaire sûr, prévisible et sans entraves, permettant l’acheminement de nourriture, de médicaments et de carburant, ainsi que l’évacuation des blessés.
Sur le terrain diplomatique, la fenêtre d’opportunité se rétrécit à mesure que la défiance s’installe. Les médiations régionales et les efforts des acteurs internationaux doivent converger vers des mesures de confiance: mécanismes de vérification du cessez-le-feu, échanges de prisonniers et otages, et relance d’un processus politique crédible. L’ONU plaide pour une approche séquentielle, associant sécurité, gouvernance et reconstruction, afin d’éviter le cycle répétitif des conflits et des trêves éphémères.
La reconstruction de Gaza exigera des garanties de sécurité, une coordination solide et des ressources substantielles. Le risque, sans horizon politique, est de voir l’aide humanitaire se substituer à une solution durable. C’est pourquoi le secrétaire général appelle à un engagement soutenu des parties et des partenaires, dans le respect du droit international, y compris la protection des installations civiles et des travailleurs humanitaires.
Le rappel de Guterres vise à créer un sursaut: la priorité doit être donnée à la vie humaine, à la désescalade et au retour à la table des négociations. La paix, fragile par nature, ne tient que si chaque acteur accepte des concessions et s’inscrit dans la vérification et la transparence. L’alternative, déjà visible, est une spirale qui condamne civils et stabilité régionale.












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