Des chercheurs de l’université de Cambridge ont identifié un gène, le DENND1B, qui prédispose à l’obésité aussi bien chez les humains que chez les labradors.

Cette découverte met en lumière les similitudes entre l’homme et son meilleur ami en matière de prise de poids et de comportements alimentaires.

L’étude souligne que les chiens porteurs de ce gène sont plus attirés par la nourriture, comme les humains ayant une prédisposition génétique à l’obésité. Une avancée qui pourrait aider à mieux comprendre les mécanismes cérébraux du contrôle du poids.