Une opération déclenchée sur renseignement
Selon les premières informations disponibles, les services de sécurité ont agi après avoir reçu des données ciblées de la Direction générale de la surveillance du territoire signalant la circulation d’un véhicule utilitaire transportant une cargaison de stupéfiants. Après information du parquet compétent, un dispositif a été mis en place pour localiser et intercepter le véhicule suspect.
La manœuvre a rapidement dégénéré. Au moment de l’intervention, les occupants du véhicule ont ouvert le feu sur les éléments de la Direction générale de la sûreté nationale, provoquant un échange de tirs en pleine zone urbaine.
Véhicule saisi, trafiquants en cavale
Malgré la violence de l’affrontement, l’opération a permis la saisie du véhicule, immédiatement mis sous scellés. Les suspects, eux, ont profité de la confusion pour s’enfuir vers une destination encore inconnue, déclenchant un important déploiement sécuritaire dans et autour de la ville.
La fouille légale du véhicule a révélé la présence de plusieurs types de drogues, dont de la cocaïne et du cannabis. Les enquêteurs ont également découvert des étuis d’armes à feu, une arme blanche de grand calibre ainsi qu’une bombe lacrymogène, confirmant le caractère dangereux des individus impliqués.
Enquête en cours et chasse aux suspects
Les services de police ont procédé au relevé des empreintes et à l’exploitation des indices techniques afin d’identifier les auteurs de cette attaque armée contre les forces de l’ordre. Les investigations se poursuivent pour remonter les filières concernées et localiser les suspects en fuite.
Un signal fort face au narcotrafic
Cet incident met en lumière la détermination des réseaux de trafic à recourir à la violence armée, mais aussi la coordination étroite entre les services de renseignement et de police. À Ouarzazate, la priorité reste désormais l’arrestation des suspects et la neutralisation de ce réseau.












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