Les récentes précipitations au Maroc ont provoqué une hausse notable des niveaux d’eau dans plusieurs barrages, offrant un répit temporaire face à la tension hydrique.

Le barrage Hassan Ier à Azilal a enregistré le plus fort apport, tandis que d’autres retenues, comme Imfout, Ahmed El Hansali et Mansour Eddahbi, affichent aussi des progrès significatifs.

Cette accalmie reste toutefois limitée par les besoins structurels en eau et les effets persistants de la sécheresse. Les autorités poursuivent la surveillance et développent des projets de dessalement, d’interconnexion des bassins et de gestion rationnelle des ressources.