Selon Redouane Jiyed, la Direction nationale de l’arbitrage (DNA) a entrepris une réforme ambitieuse de l’arbitrage marocain, visant à corriger les dysfonctionnements existants. Cette initiative a pour objectif de soutenir et de valoriser une nouvelle génération d’arbitres, leur offrant ainsi l’opportunité de démontrer leurs compétences.
En début de saison, de jeunes arbitres issus des divisions inférieures ont été intégrés progressivement à des compétitions de haut niveau. Bien que les débuts aient été marqués par certains défis, cette stratégie s’est avérée fructueuse.
La DNA met un accent particulier sur la formation et le perfectionnement des arbitres. Avant le début de la saison, des sessions de formation ont été organisées pour les arbitres de l’élite, ainsi que pour ceux du football amateur, féminin, de beach-soccer et de futsal. Des ateliers d’évaluation sont également mis en place pour analyser les performances, corriger les erreurs et renforcer les points forts.
Le Maroc s’illustre également comme un pionnier dans l’utilisation de la VAR. Bien que cette technologie ait considérablement réduit les erreurs, Jiyed a rappelé qu’elle repose toujours sur l’intervention humaine. Des sessions de perfectionnement sont régulièrement organisées pour optimiser son utilisation, permettant au Maroc de maintenir sa position de leader régional en matière d’arbitrage.
En début de saison, de jeunes arbitres issus des divisions inférieures ont été intégrés progressivement à des compétitions de haut niveau. Bien que les débuts aient été marqués par certains défis, cette stratégie s’est avérée fructueuse.
« Nous sommes satisfaits du niveau global de l’arbitrage marocain, particulièrement avec la diminution des critiques lors des dernières journées de la Botola Pro D1, ce qui témoigne des progrès réalisés », a affirmé Jiyed.
La DNA met un accent particulier sur la formation et le perfectionnement des arbitres. Avant le début de la saison, des sessions de formation ont été organisées pour les arbitres de l’élite, ainsi que pour ceux du football amateur, féminin, de beach-soccer et de futsal. Des ateliers d’évaluation sont également mis en place pour analyser les performances, corriger les erreurs et renforcer les points forts.
Pour encadrer les arbitres, la DNA s’appuie sur des contrôleurs spécialement formés, bien que leur nombre reste insuffisant. « Nous manquons encore de contrôleurs, mais nous travaillons activement à combler ce déficit à travers des stages de formation », a-t-il précisé.
Le Maroc s’illustre également comme un pionnier dans l’utilisation de la VAR. Bien que cette technologie ait considérablement réduit les erreurs, Jiyed a rappelé qu’elle repose toujours sur l’intervention humaine. Des sessions de perfectionnement sont régulièrement organisées pour optimiser son utilisation, permettant au Maroc de maintenir sa position de leader régional en matière d’arbitrage.
Face aux critiques amplifiées par les réseaux sociaux, Jiyed a souligné l’importance pour les arbitres de faire preuve de résilience. « Les arbitres doivent rester concentrés sur leur performance et se montrer imperméables aux pressions extérieures. Nous les accompagnons dans ce sens », a-t-il ajouté.
Enfin, la DNA maintient une collaboration étroite avec les ligues et les organismes supervisant les compétitions, tout en affirmant son indépendance. « Notre travail repose sur une logique de consultation et de coordination, toujours au service du développement du football national », a conclu Jiyed.