Une protestation rafraîchissante… mais sérieuse
C’est la nouvelle qui fait le tour des réseaux ! À Majorque, île espagnole ultra-prisée, les habitants ont sorti les pistolets à eau… mais pas pour s’amuser. Leur cible ? Les touristes, de plus en plus nombreux, qui envahissent rues, plages et terrasses. Un mouvement inédit, aussi drôle que révélateur d’un vrai ras-le-bol.
Tout a commencé ce week-end, quand des groupes de locaux se sont mis à arroser les vacanciers dans les zones les plus fréquentées. D’abord bon enfant, l’action est devenue le symbole d’une protestation contre le « surtourisme » qui défigure l’île. Les manifestants brandissent des pancartes, crient leur colère… et n’hésitent pas à mouiller ceux qui ne comprennent pas le message ! Sur TikTok et Insta, les vidéos cartonnent déjà, et le hashtag #MajorqueEnColère explose.
Mais pourquoi tant de tension ? Pour les Majorquins, la coupe est pleine : loyers qui flambent, plages bondées, embouteillages monstres, pollution, bruit… Certains n’arrivent même plus à trouver un logement ou à profiter de leur propre ville. L’économie locale dépend certes des touristes, mais à quel prix ? Ce débat, il parle aussi aux Marocains, surtout à Agadir, Marrakech ou Chefchaouen, où la pression touristique monte chaque été. Jusqu’où faut-il aller pour faire plaisir aux visiteurs sans sacrifier la vie locale ?
Côté autorités, c’est la gêne : entre défense de l’économie et protection des habitants, l’équilibre est fragile. Sur les réseaux, les avis fusent : certains applaudissent l’initiative, d’autres la trouvent exagérée. Des célébrités espagnoles prennent parti, les médias européens s’emparent du sujet, et les professionnels du tourisme s’inquiètent pour la saison. Au café du coin à Casablanca, on rigole : « Chez nous, on aurait sorti le thé à la menthe pour calmer les esprits ! »
Et après ? La question reste entière : comment réinventer un tourisme plus respectueux ? Majorque lance le débat, mais toutes les destinations sont concernées. Maroc compris. Alors, à quand la manif à pistolet à eau sur la corniche de Rabat ou à Essaouira ? À suivre !
Tout a commencé ce week-end, quand des groupes de locaux se sont mis à arroser les vacanciers dans les zones les plus fréquentées. D’abord bon enfant, l’action est devenue le symbole d’une protestation contre le « surtourisme » qui défigure l’île. Les manifestants brandissent des pancartes, crient leur colère… et n’hésitent pas à mouiller ceux qui ne comprennent pas le message ! Sur TikTok et Insta, les vidéos cartonnent déjà, et le hashtag #MajorqueEnColère explose.
Mais pourquoi tant de tension ? Pour les Majorquins, la coupe est pleine : loyers qui flambent, plages bondées, embouteillages monstres, pollution, bruit… Certains n’arrivent même plus à trouver un logement ou à profiter de leur propre ville. L’économie locale dépend certes des touristes, mais à quel prix ? Ce débat, il parle aussi aux Marocains, surtout à Agadir, Marrakech ou Chefchaouen, où la pression touristique monte chaque été. Jusqu’où faut-il aller pour faire plaisir aux visiteurs sans sacrifier la vie locale ?
Côté autorités, c’est la gêne : entre défense de l’économie et protection des habitants, l’équilibre est fragile. Sur les réseaux, les avis fusent : certains applaudissent l’initiative, d’autres la trouvent exagérée. Des célébrités espagnoles prennent parti, les médias européens s’emparent du sujet, et les professionnels du tourisme s’inquiètent pour la saison. Au café du coin à Casablanca, on rigole : « Chez nous, on aurait sorti le thé à la menthe pour calmer les esprits ! »
Et après ? La question reste entière : comment réinventer un tourisme plus respectueux ? Majorque lance le débat, mais toutes les destinations sont concernées. Maroc compris. Alors, à quand la manif à pistolet à eau sur la corniche de Rabat ou à Essaouira ? À suivre !