Après deux semaines de procès devant le tribunal fédéral de Los Angeles, la justice a tranché en faveur de Disney, comme l’a rapporté le média américain Variety. Une décision qui met un terme à une affaire complexe mêlant créativité, droits d’auteur et allégations de vol intellectuel.
Un scénario contesté
Tout commence en 2004, lorsque Buck Woodall remet un scénario intitulé Bucky à Jenny Marchick, alors directrice du développement chez Mandeville Films. Ce projet raconte l’histoire d’un adolescent polynésien qui, contre l’avis de ses parents, entreprend un périlleux voyage où il croise des demi-dieux et des figures issues de la culture polynésienne. Selon Woodall, ce scénario aurait été transmis à Disney sans son consentement et aurait servi de base à la création de Vaiana.
Cependant, le tribunal a conclu que Disney n’avait jamais eu accès à ce script, rendant impossible toute accusation de plagiat. Un porte-parole des studios s’est félicité de cette décision, déclarant : "Nous sommes incroyablement fiers du travail collectif qui a permis la réalisation de Vaiana et nous sommes heureux que le jury ait conclu qu'il n'avait rien à voir avec les œuvres du plaignant."
Ce n’est pas la première fois que Buck Woodall porte plainte contre Disney à ce sujet. Une première tentative avait été rejetée en novembre dernier, car jugée trop tardive par rapport à la sortie du premier volet de Vaiana en 2016. Cette nouvelle accusation ciblait spécifiquement le second opus, sorti en novembre 2024. Mais là encore, la justice n’a pas donné raison au réalisateur.
Disney et les accusations de plagiat : une histoire récurrente
Disney n’est pas étranger aux accusations de plagiat. En 2015, une écrivaine koweïtienne, Muneefa Abdullah, avait affirmé que le studio s’était inspiré de son conte "La Princesse des Neiges" pour créer "La Reine des Neiges". Mais en mars 2016, la justice avait rejeté cette plainte, concluant à l’absence de similitudes condamnables entre les deux œuvres.
Ces affaires soulèvent des questions sur les frontières souvent floues entre inspiration et plagiat dans le monde du divertissement. Si Disney est régulièrement ciblé, il semble que ses créations continuent de convaincre les tribunaux de leur originalité, protégeant ainsi l’intégrité de ses productions face à des accusations récurrentes.
Un scénario contesté
Tout commence en 2004, lorsque Buck Woodall remet un scénario intitulé Bucky à Jenny Marchick, alors directrice du développement chez Mandeville Films. Ce projet raconte l’histoire d’un adolescent polynésien qui, contre l’avis de ses parents, entreprend un périlleux voyage où il croise des demi-dieux et des figures issues de la culture polynésienne. Selon Woodall, ce scénario aurait été transmis à Disney sans son consentement et aurait servi de base à la création de Vaiana.
Cependant, le tribunal a conclu que Disney n’avait jamais eu accès à ce script, rendant impossible toute accusation de plagiat. Un porte-parole des studios s’est félicité de cette décision, déclarant : "Nous sommes incroyablement fiers du travail collectif qui a permis la réalisation de Vaiana et nous sommes heureux que le jury ait conclu qu'il n'avait rien à voir avec les œuvres du plaignant."
Ce n’est pas la première fois que Buck Woodall porte plainte contre Disney à ce sujet. Une première tentative avait été rejetée en novembre dernier, car jugée trop tardive par rapport à la sortie du premier volet de Vaiana en 2016. Cette nouvelle accusation ciblait spécifiquement le second opus, sorti en novembre 2024. Mais là encore, la justice n’a pas donné raison au réalisateur.
Disney et les accusations de plagiat : une histoire récurrente
Disney n’est pas étranger aux accusations de plagiat. En 2015, une écrivaine koweïtienne, Muneefa Abdullah, avait affirmé que le studio s’était inspiré de son conte "La Princesse des Neiges" pour créer "La Reine des Neiges". Mais en mars 2016, la justice avait rejeté cette plainte, concluant à l’absence de similitudes condamnables entre les deux œuvres.
Ces affaires soulèvent des questions sur les frontières souvent floues entre inspiration et plagiat dans le monde du divertissement. Si Disney est régulièrement ciblé, il semble que ses créations continuent de convaincre les tribunaux de leur originalité, protégeant ainsi l’intégrité de ses productions face à des accusations récurrentes.