Et si ton groupe préféré n’était qu’une illusion ? Un mirage sonore made in IA ? C’est le gros mindfuck de l’été : The Velvet Sundown, formation rock qui cartonne sur Spotify avec plus de 1,1 million de fans, vient d’avouer être… générée par intelligence artificielle. Oui, tu as bien lu.
Du buzz à la révélation : la grande mascarade digitale
Tout a commencé comme un conte rock'n'roll version 2025 : un groupe sorti de nulle part, une vibe ultra-seventies, des covers vintage qui sentent le jean flare et la guitare fuzz, et une productivité de machine (littéralement). Deux albums en quelques mois, des sons calibrés, une esthétique léchée. Trop beau pour être vrai ? Pas pour Spotify. Sauf que la toile, elle, a commencé à flairer le bug.
Entre les visuels chelous qui ressemblaient à du Midjourney remixé et des messages ambigus postés sur X (« We are not AI » en caps lock), les soupçons montaient. Et boom : confirmation dans leur bio Spotify. The Velvet Sundown, c’est bien un projet synthétique piloté par une direction artistique humaine, avec du son, des visuels, et peut-être même des émotions... fabriquées.
Leur bio ne se cache plus : « Ce n’est pas une farce, c’est un miroir. Une provocation artistique destinée à questionner les limites de la création, de l’identité et le futur de la musique ». En d’autres termes : “on vous a bien eu, mais c’était pour la bonne cause”.
Et les plateformes dans tout ça ?
Spotify, contacté par l’AFP, botte en touche. Pas de commentaire sur le groupe, mais un discours rassurant : “Nous ne profitons pas financièrement de la musique générée par IA”. Deezer, lui, joue la transparence en ajoutant un label “Contenu généré par IA” sous les albums de The Velvet Sundown.
Mais le vrai chiffre qui fait paniquer : 20.000 morceaux générés par IA uploadés chaque jour sur Deezer. Soit 18% du contenu. Et c’est que le début.
Coup de com' ou vraie révolution ?
Les fans sont partagés. Certains adorent l’idée d’un “groupe fantôme” qui dénonce le système de l’intérieur. D’autres se sentent trahis, comme en découvrant que leur chanteur préféré… n’a jamais existé.
À écouter si t’es curieux de ce que le futur nous réserve. Mais aussi à méditer. Parce que si une IA peut inventer ton prochain groupe préféré… elle peut aussi le faire disparaître en un clic.
Du buzz à la révélation : la grande mascarade digitale
Tout a commencé comme un conte rock'n'roll version 2025 : un groupe sorti de nulle part, une vibe ultra-seventies, des covers vintage qui sentent le jean flare et la guitare fuzz, et une productivité de machine (littéralement). Deux albums en quelques mois, des sons calibrés, une esthétique léchée. Trop beau pour être vrai ? Pas pour Spotify. Sauf que la toile, elle, a commencé à flairer le bug.
Entre les visuels chelous qui ressemblaient à du Midjourney remixé et des messages ambigus postés sur X (« We are not AI » en caps lock), les soupçons montaient. Et boom : confirmation dans leur bio Spotify. The Velvet Sundown, c’est bien un projet synthétique piloté par une direction artistique humaine, avec du son, des visuels, et peut-être même des émotions... fabriquées.
Leur bio ne se cache plus : « Ce n’est pas une farce, c’est un miroir. Une provocation artistique destinée à questionner les limites de la création, de l’identité et le futur de la musique ». En d’autres termes : “on vous a bien eu, mais c’était pour la bonne cause”.
Et les plateformes dans tout ça ?
Spotify, contacté par l’AFP, botte en touche. Pas de commentaire sur le groupe, mais un discours rassurant : “Nous ne profitons pas financièrement de la musique générée par IA”. Deezer, lui, joue la transparence en ajoutant un label “Contenu généré par IA” sous les albums de The Velvet Sundown.
Mais le vrai chiffre qui fait paniquer : 20.000 morceaux générés par IA uploadés chaque jour sur Deezer. Soit 18% du contenu. Et c’est que le début.
Coup de com' ou vraie révolution ?
Les fans sont partagés. Certains adorent l’idée d’un “groupe fantôme” qui dénonce le système de l’intérieur. D’autres se sentent trahis, comme en découvrant que leur chanteur préféré… n’a jamais existé.
À écouter si t’es curieux de ce que le futur nous réserve. Mais aussi à méditer. Parce que si une IA peut inventer ton prochain groupe préféré… elle peut aussi le faire disparaître en un clic.