Abdellatif Mâzouz a souligné que la CSU constitue un chantier clé pour le Maroc, non seulement en raison de son impact direct sur le bien-être des citoyens, mais aussi pour son rôle dans le développement économique. Avec des investissements massifs prévus jusqu’en 2030, la généralisation de la protection sociale est perçue comme une avancée majeure pour renforcer la cohésion sociale. Cependant, cette initiative ambitieuse nécessite une approche systémique intégrant les aspects économiques, sociaux et sanitaires. Mâzouz a insisté sur la nécessité d’une gouvernance efficace et d’une optimisation des ressources pour garantir la durabilité de ce projet.
Le président de l’AEI a également abordé la question cruciale de la souveraineté sanitaire, en appelant à davantage d’autonomie dans la production de médicaments et de dispositifs médicaux. Selon lui, cette indépendance est essentielle pour réduire la dépendance extérieure et positionner le Maroc comme un acteur clé dans le domaine de la santé en Afrique. Il a également mis en avant l’importance de développer une économie de la santé robuste, un secteur qui représente déjà une part significative du PIB marocain.
Au-delà des enjeux sanitaires, Abdellatif Mâzouz a présenté la CSU comme une opportunité économique et sociale. La réforme du système de santé pourrait devenir un moteur de création d’emplois et un levier pour le développement humain durable. Pour cela, il a plaidé en faveur d’une meilleure coordination entre les secteurs public et privé, ainsi que d’un équilibre en ressources humaines médicales pour répondre aux besoins croissants en soins.
En conclusion, le président de l’AEI a appelé à une réflexion collective et à un engagement fort pour relever les défis liés à la couverture sanitaire universelle. Ce projet, qui s’inscrit dans une vision globale de développement, pourrait transformer le secteur de la santé en un pilier stratégique pour l’économie marocaine et un modèle en Afrique.
Le président de l’AEI a également abordé la question cruciale de la souveraineté sanitaire, en appelant à davantage d’autonomie dans la production de médicaments et de dispositifs médicaux. Selon lui, cette indépendance est essentielle pour réduire la dépendance extérieure et positionner le Maroc comme un acteur clé dans le domaine de la santé en Afrique. Il a également mis en avant l’importance de développer une économie de la santé robuste, un secteur qui représente déjà une part significative du PIB marocain.
Au-delà des enjeux sanitaires, Abdellatif Mâzouz a présenté la CSU comme une opportunité économique et sociale. La réforme du système de santé pourrait devenir un moteur de création d’emplois et un levier pour le développement humain durable. Pour cela, il a plaidé en faveur d’une meilleure coordination entre les secteurs public et privé, ainsi que d’un équilibre en ressources humaines médicales pour répondre aux besoins croissants en soins.
En conclusion, le président de l’AEI a appelé à une réflexion collective et à un engagement fort pour relever les défis liés à la couverture sanitaire universelle. Ce projet, qui s’inscrit dans une vision globale de développement, pourrait transformer le secteur de la santé en un pilier stratégique pour l’économie marocaine et un modèle en Afrique.