C’est du jamais-vu à Londres ! Ce mardi, le Parlement britannique accueille une session entièrement consacrée au Maroc, avec la participation très attendue de David Lammy, le nouveau chef de la diplomatie UK. Au menu : relations économiques, investissements, et un focus inédit sur la coopération entre Rabat et Londres. Un événement qui fait déjà réagir des deux côtés de la Méditerranée !

Ce n’est pas tous les jours que Westminster s’intéresse autant à notre pays ! Cette session spéciale vise à renforcer les liens entre le Maroc et le Royaume-Uni, surtout après le Brexit. Les députés britanniques veulent comprendre comment booster les échanges commerciaux, attirer des investissements marocains et, pourquoi pas, signer de nouveaux accords économiques. Pour David Lammy, c’est l’occasion de poser les bases d’une nouvelle ère de partenariat, loin des vieilles habitudes européennes.

Mais pourquoi c’est important pour nous, Marocains ? Parce que le Royaume-Uni, c’est un marché immense, avide de nouveaux partenaires depuis sa sortie de l’UE. Pour notre économie, c’est une vraie opportunité : plus d’export, plus de jobs, et surtout une diversification qui peut profiter aux jeunes entrepreneurs. Imaginez nos oranges de Berkane ou notre tech made in Morocco à la conquête de Londres ! Et côté UK, miser sur le Maroc, c’est aussi investir dans la stabilité et la croissance d’un pays-pivot en Afrique.

Sur les réseaux, ça commente déjà : certains voient dans cette session une reconnaissance du poids du Maroc sur la scène internationale, d’autres espèrent des facilités de visa ou des bourses pour étudier à Londres. Côté officiels, le ministère du Commerce et les ambassadeurs multiplient les messages positifs : « Le Maroc est prêt à renforcer ses liens avec le Royaume-Uni ». Dans les cafés, on rêve un peu : « Inchallah, demain on ira bosser à Londres ou on verra nos produits dans les supermarchés british ! »

Et après ? Si la session débouche sur des accords concrets, attendez-vous à voir plus de business UK-Maroc, des jobs et peut-être même de nouveaux vols directs. La balle est dans le camp des négociateurs. À suivre… et à surveiller de près si vous voulez surfer sur la vague des opportunités internationales !