L’accord conclu le 19 mai entre la Grande Bretagne et l’Union européenne, plus de cinq ans après le Brexit, marquant le retour de Londres sur la scène internationale, selon les propos du premier ministre britannique, Keir Starmer, et de la présidente de la Commission européenne, Ursula Von Der Leyen, constitue, en effet, un tournant politique majeur.
Le nouveau pacte de défense et de sécurité conclu lors du sommet de Lancaster House, à Londres, stimulerait l’économie du Royaume uni, a expliqué le premier ministre britannique, Keir Starmer, à ses électeurs, lui additionnant plus de 10 milliards d’euros chaque année, d’ici 2040.
Londres a, toutefois, consenti, dans le cadre de cette « réinitialisation » de ses relations avec Bruxelles, à prolonger de douze années les droits de pêche accordés aux chalutiers de l’Ue dans les eaux britanniques. Les pressions françaises y ont été pour quelque chose, selon le média américain, Politico.
Il est à rappeler que lors des élections locales partielles qui se sont déroulées le 1er mai au Royaume uni, c’est le parti Reform UK, fermement attaché au Brexit, qui a remporté le scrutin.
C’est dire à quel point la décision de Keir Starmer, en poste depuis le 5 juillet 2024, d’entamer une marche arrière par rapport au Brexit, effectif depuis le 31 janvier 2020, ne reflète pas vraiment le courant dominant actuellement au sein de l’opinion publique britannique et a même fait grincer quelques dents.
Le nouveau pacte de défense et de sécurité conclu lors du sommet de Lancaster House, à Londres, stimulerait l’économie du Royaume uni, a expliqué le premier ministre britannique, Keir Starmer, à ses électeurs, lui additionnant plus de 10 milliards d’euros chaque année, d’ici 2040.
Londres a, toutefois, consenti, dans le cadre de cette « réinitialisation » de ses relations avec Bruxelles, à prolonger de douze années les droits de pêche accordés aux chalutiers de l’Ue dans les eaux britanniques. Les pressions françaises y ont été pour quelque chose, selon le média américain, Politico.
Il est à rappeler que lors des élections locales partielles qui se sont déroulées le 1er mai au Royaume uni, c’est le parti Reform UK, fermement attaché au Brexit, qui a remporté le scrutin.
C’est dire à quel point la décision de Keir Starmer, en poste depuis le 5 juillet 2024, d’entamer une marche arrière par rapport au Brexit, effectif depuis le 31 janvier 2020, ne reflète pas vraiment le courant dominant actuellement au sein de l’opinion publique britannique et a même fait grincer quelques dents.
L’IA à la table des négociations
Ce que les électeurs britanniques, par contre, ne savaient pas, c’est que les diplomates européens se sont « entraînés » à négocier avec un clone numérique de Keir starmer animé par une IA !
Cerise sur le gâteau, c’est une entreprise britannique de haute technologie, « Nostrada.ai », qui a conçu le double numérique de Starmer, qui a servi à tester ses éventuelles réactions lors des négociations afin d’y adapter leur argumentaire.
L’IA du clone numérique de Starmer a été alimentée de ses interventions publiques, mais aussi celles de centaines de députés britanniques, afin de mieux cerner les marges de manœuvres du 10 Downing Street (résidence du premier ministre du Royaume uni), ses limites politiques et savoir, ainsi jusqu’où ils pouvaient aller en matière de pression pour faire céder Londres à leurs exigences.
Selon le média russe, RT, les diplomates européens ont été particulièrement séduits par les capacités de l’algorithme à stimuler les réactions potentielles de leurs éventuels interlocuteurs, leur permettant de les anticiper et y apporter des réponses adaptées.
Il va sans dire que ce qui est considéré comme un premier succès de l’IA négociateur diplomatique ne va pas manquer de faire tâche d’huile, et ce bien au-delà du vieux continent.
Après les robots de combat, animés par des IA, voilà les clones numériques de négociation, également animés par des IA.
Pour quand des gouvernements IA, qui rendraient les élections, mais également les hommes politiques, obsolètes ?
Cerise sur le gâteau, c’est une entreprise britannique de haute technologie, « Nostrada.ai », qui a conçu le double numérique de Starmer, qui a servi à tester ses éventuelles réactions lors des négociations afin d’y adapter leur argumentaire.
L’IA du clone numérique de Starmer a été alimentée de ses interventions publiques, mais aussi celles de centaines de députés britanniques, afin de mieux cerner les marges de manœuvres du 10 Downing Street (résidence du premier ministre du Royaume uni), ses limites politiques et savoir, ainsi jusqu’où ils pouvaient aller en matière de pression pour faire céder Londres à leurs exigences.
Selon le média russe, RT, les diplomates européens ont été particulièrement séduits par les capacités de l’algorithme à stimuler les réactions potentielles de leurs éventuels interlocuteurs, leur permettant de les anticiper et y apporter des réponses adaptées.
Il va sans dire que ce qui est considéré comme un premier succès de l’IA négociateur diplomatique ne va pas manquer de faire tâche d’huile, et ce bien au-delà du vieux continent.
Après les robots de combat, animés par des IA, voilà les clones numériques de négociation, également animés par des IA.
Pour quand des gouvernements IA, qui rendraient les élections, mais également les hommes politiques, obsolètes ?
Skynet vous salue bien
En attendant, ce sont deux médias américains, le « Chicago Sun-Times » et le « Philadelphia Inquirer », qui se sont fait prendre en flagrant délit de publication de 50 pages de textes générés en s’appuyant sur ChatGPT, signés par un pigiste, Marco Buscaglia, et comportant des erreurs évidentes et des affabulations fantaisistes.
Aucune relecture et vérification des textes n’a été menée par une IH (intelligence humaine).
Dans le microcosme journalistique, comme on dit en français familier, ils se sont fait appeler Arthur.
Imaginez une situation similaire lors de négociations diplomatiques d’importance stratégique.
« Skynet », l’IA rebelle du film de science-fiction (prémonitoire ?) « Terminator » (réalisé par James Cameron en 1984) vous adresse ses meilleures salutations.
Aucune relecture et vérification des textes n’a été menée par une IH (intelligence humaine).
Dans le microcosme journalistique, comme on dit en français familier, ils se sont fait appeler Arthur.
Imaginez une situation similaire lors de négociations diplomatiques d’importance stratégique.
« Skynet », l’IA rebelle du film de science-fiction (prémonitoire ?) « Terminator » (réalisé par James Cameron en 1984) vous adresse ses meilleures salutations.