Le Conseil de surveillance, organe indépendant surnommé la “Cour suprême” de Facebook, accuse Meta de ne pas assez combattre les deepfakes frauduleux sur ses plateformes, notamment ceux impliquant des célébrités comme Ronaldo ou Emmanuel Macron.

Malgré de nombreux signalements, du contenu douteux circule encore librement, révélant des failles dans la modération.

Meta affirme intensifier ses efforts, notamment via la reconnaissance faciale, mais le Conseil demande une mise à jour des directives et une meilleure formation des modérateurs.