Un centre de distribution de farine visé en pleine affluence
Nouvelle tragédie à Gaza. Mardi, une frappe israélienne a visé un centre de distribution de farine à Khan Younès, alors que des milliers de Palestiniens s’étaient rassemblés pour recevoir une aide alimentaire vitale. Le bilan est lourd : au moins 47 morts et plus de 200 blessés, selon le porte-parole de la Défense civile, qui parle d’une « nouvelle massacre contre les affamés ».
La scène s’est déroulée près de la station de dessalement, où la population, épuisée par des mois de guerre et de blocus, faisait la queue dans l’espoir d’obtenir un sac de farine. Soudain, les explosions ont semé la panique. Les secours décrivent des scènes de chaos, des blessés transportés à la hâte vers des hôpitaux déjà saturés, et des familles cherchant désespérément leurs proches parmi les décombres.
Ce drame intervient au lendemain d’un autre incident similaire, qui avait coûté la vie à cinquante Palestiniens venus eux aussi chercher de l’aide près d’un autre site humanitaire. Pour beaucoup, il s’agit d’un nouveau symptôme de la crise alimentaire extrême qui frappe Gaza, où la population dépend presque entièrement de l’aide internationale pour survivre. Les ONG tirent la sonnette d’alarme sur le risque de famine et l’impossibilité d’acheminer les secours en toute sécurité.
Sur place, les témoignages sont bouleversants : « Nous étions venus juste pour du pain et de la farine, maintenant nous comptons nos morts », raconte un survivant. Les hôpitaux, déjà débordés, peinent à soigner tous les blessés. La communauté internationale, de son côté, multiplie les appels au cessez-le-feu et à la protection des civils, mais la situation humanitaire ne cesse de se détériorer.
Et après ? Tant que la guerre continue et que l’accès à l’aide reste entravé, la population de Gaza restera prise au piège de la violence et de la faim. Un drame qui interpelle bien au-delà des frontières du Proche-Orient.
La scène s’est déroulée près de la station de dessalement, où la population, épuisée par des mois de guerre et de blocus, faisait la queue dans l’espoir d’obtenir un sac de farine. Soudain, les explosions ont semé la panique. Les secours décrivent des scènes de chaos, des blessés transportés à la hâte vers des hôpitaux déjà saturés, et des familles cherchant désespérément leurs proches parmi les décombres.
Ce drame intervient au lendemain d’un autre incident similaire, qui avait coûté la vie à cinquante Palestiniens venus eux aussi chercher de l’aide près d’un autre site humanitaire. Pour beaucoup, il s’agit d’un nouveau symptôme de la crise alimentaire extrême qui frappe Gaza, où la population dépend presque entièrement de l’aide internationale pour survivre. Les ONG tirent la sonnette d’alarme sur le risque de famine et l’impossibilité d’acheminer les secours en toute sécurité.
Sur place, les témoignages sont bouleversants : « Nous étions venus juste pour du pain et de la farine, maintenant nous comptons nos morts », raconte un survivant. Les hôpitaux, déjà débordés, peinent à soigner tous les blessés. La communauté internationale, de son côté, multiplie les appels au cessez-le-feu et à la protection des civils, mais la situation humanitaire ne cesse de se détériorer.
Et après ? Tant que la guerre continue et que l’accès à l’aide reste entravé, la population de Gaza restera prise au piège de la violence et de la faim. Un drame qui interpelle bien au-delà des frontières du Proche-Orient.