À la suite du décret signé la semaine dernière par Donald Trump intitulé « Interdire aux hommes de participer aux sports féminins », l’Association internationale de boxe (IBA) a annoncé son intention de déposer une plainte officielle contre le Comité international olympique (CIO) auprès des procureurs généraux de Suisse, de France et des États-Unis. Cette plainte concerne la gestion par le CIO du conflit d’admissibilité au genre qui a marqué les Jeux olympiques de Paris 2024.
Imane Khelif et Lin Yu-ting avaient été autorisées à concourir et à remporter la médaille d’or en boxe féminine aux derniers Jeux olympiques, malgré leur exclusion des Championnats du monde l’année précédente en raison d’un échec aux tests de dépistage du sexe. L’IBA, qui n’a pas pu organiser l’événement de boxe à Paris 2024 en raison de sanctions liées à un scandale de corruption datant des Jeux de 2016, reproche au CIO d’avoir ignoré les résultats de ses propres tests.
Dans un communiqué, l’IBA affirme être « la seule fédération internationale engagée à protéger les droits des athlètes et l’intégrité du sport féminin ». L’organisation critique fermement la décision du CIO de ne pas reconnaître les tests effectués par ses soins et d’autoriser Khelif et Lin à participer aux qualifications, puis aux Jeux olympiques, où elles ont décroché l’or. Selon l’IBA, cette décision a privé d’autres athlètes féminines méritantes de leur place en compétition.
L’association a donc saisi le procureur général suisse, Stefan Blätter, estimant que les actions du CIO ont favorisé la participation d’athlètes jugées inéligibles, ce qui pourrait justifier une enquête en vertu du droit suisse. Des plaintes similaires seront également déposées en France et aux États-Unis.
Imane Khelif et Lin Yu-ting avaient été autorisées à concourir et à remporter la médaille d’or en boxe féminine aux derniers Jeux olympiques, malgré leur exclusion des Championnats du monde l’année précédente en raison d’un échec aux tests de dépistage du sexe. L’IBA, qui n’a pas pu organiser l’événement de boxe à Paris 2024 en raison de sanctions liées à un scandale de corruption datant des Jeux de 2016, reproche au CIO d’avoir ignoré les résultats de ses propres tests.
Dans un communiqué, l’IBA affirme être « la seule fédération internationale engagée à protéger les droits des athlètes et l’intégrité du sport féminin ». L’organisation critique fermement la décision du CIO de ne pas reconnaître les tests effectués par ses soins et d’autoriser Khelif et Lin à participer aux qualifications, puis aux Jeux olympiques, où elles ont décroché l’or. Selon l’IBA, cette décision a privé d’autres athlètes féminines méritantes de leur place en compétition.
L’association a donc saisi le procureur général suisse, Stefan Blätter, estimant que les actions du CIO ont favorisé la participation d’athlètes jugées inéligibles, ce qui pourrait justifier une enquête en vertu du droit suisse. Des plaintes similaires seront également déposées en France et aux États-Unis.