Vous n’arrivez pas à vous endormir ? Essayez la marche mentale ! car quand l’esprit vagabonde, le corps s’apaise
L’autre jour, un psychologue m’a surpris par une suggestion des plus inhabituelles : « Vous n’arrivez pas à vous endormir ? Essayez la marche mentale ! » D’abord sceptique, j’ai voulu comprendre cette méthode qui semble défier les solutions classiques aux troubles du sommeil.
Nous connaissons tous les recommandations traditionnelles pour mieux dormir : éviter les écrans avant de se coucher, réduire la caféine, pratiquer la méditation… Mais la marche mentale ? Ce concept m’était inconnu. Le psychologue m’a expliqué que notre cerveau, lorsqu’il peine à s’endormir, est souvent en état d’hyperactivité. Il ressasse des pensées, anticipe le lendemain, rumine des soucis. Plutôt que de lutter contre ce flot mental, la marche mentale propose de l’orienter vers un imaginaire structuré et apaisant.
L’exercice est simple : avant de dormir, imaginez-vous en train de marcher dans un lieu familier et agréable. Cela peut être une plage, une forêt, une vieille ruelle de votre ville préférée. Concentrez-vous sur les détails : la sensation du sol sous vos pieds, la brise sur votre peau, les sons environnants. En se focalisant sur cette balade fictive, le cerveau se détend et décroche progressivement des pensées anxiogènes.
Cette approche repose sur des principes proches de l’hypnose et de la sophrologie. Elle engage le cerveau dans une visualisation immersive qui apaise le système nerveux. En quelque sorte, c’est une déambulation intérieure qui remplace le tumulte des pensées par un cheminement doux et rassurant. L’imaginaire devient une transition naturelle vers le sommeil.
Le psychologue m’a expliqué que le sommeil ne survient pas sur commande, mais par une forme d’abandon progressif. En mobilisant le cerveau sur une scène simple et répétitive, on évite les ruminations qui retardent l’endormissement. De plus, la marche mentale déclenche une réaction physiologique proche de celle d’une vraie promenade : la respiration se régule, le rythme cardiaque ralentit et la sensation de fatigue s’installe naturellement.
Intrigué, j’ai tenté l’expérience. Après quelques soirs d’adaptation, j’ai constaté un effet surprenant : mon esprit ne s’accrochait plus aux tracas du jour. Au lieu de lutter contre l’insomnie, je la contournais par cette marche imaginaire.
Alors, la prochaine fois que le sommeil vous fuit, au lieu de compter les moutons, essayez la marche mentale ! Vous pourriez être surpris par son efficacité.
Nous connaissons tous les recommandations traditionnelles pour mieux dormir : éviter les écrans avant de se coucher, réduire la caféine, pratiquer la méditation… Mais la marche mentale ? Ce concept m’était inconnu. Le psychologue m’a expliqué que notre cerveau, lorsqu’il peine à s’endormir, est souvent en état d’hyperactivité. Il ressasse des pensées, anticipe le lendemain, rumine des soucis. Plutôt que de lutter contre ce flot mental, la marche mentale propose de l’orienter vers un imaginaire structuré et apaisant.
L’exercice est simple : avant de dormir, imaginez-vous en train de marcher dans un lieu familier et agréable. Cela peut être une plage, une forêt, une vieille ruelle de votre ville préférée. Concentrez-vous sur les détails : la sensation du sol sous vos pieds, la brise sur votre peau, les sons environnants. En se focalisant sur cette balade fictive, le cerveau se détend et décroche progressivement des pensées anxiogènes.
Cette approche repose sur des principes proches de l’hypnose et de la sophrologie. Elle engage le cerveau dans une visualisation immersive qui apaise le système nerveux. En quelque sorte, c’est une déambulation intérieure qui remplace le tumulte des pensées par un cheminement doux et rassurant. L’imaginaire devient une transition naturelle vers le sommeil.
Le psychologue m’a expliqué que le sommeil ne survient pas sur commande, mais par une forme d’abandon progressif. En mobilisant le cerveau sur une scène simple et répétitive, on évite les ruminations qui retardent l’endormissement. De plus, la marche mentale déclenche une réaction physiologique proche de celle d’une vraie promenade : la respiration se régule, le rythme cardiaque ralentit et la sensation de fatigue s’installe naturellement.
Intrigué, j’ai tenté l’expérience. Après quelques soirs d’adaptation, j’ai constaté un effet surprenant : mon esprit ne s’accrochait plus aux tracas du jour. Au lieu de lutter contre l’insomnie, je la contournais par cette marche imaginaire.
Alors, la prochaine fois que le sommeil vous fuit, au lieu de compter les moutons, essayez la marche mentale ! Vous pourriez être surpris par son efficacité.