Un site alimenté à 100% par le soleil et le vent
C’est officiel : Dakhla va bientôt héberger le plus grand data center vert d’Afrique, alimenté à 100% par le soleil et le vent. Un projet XXL qui place le Maroc sur la carte mondiale du digital, et qui pourrait bien changer la donne pour l’économie numérique du pays.
Dakhla, connue pour ses plages, ses kitesurfeurs et ses couchers de soleil, s’apprête à changer de dimension. La ville du Sud marocain va accueillir un data center géant, d’une capacité de 500 mégawatts, entièrement alimenté par des énergies renouvelables. Imaginez : des serveurs à perte de vue, boostés par le soleil du Sahara et les vents de l’Atlantique… Le rêve de toute startup écolo !
Ce data center, c’est un peu comme si la Silicon Valley débarquait à Dakhla, version green. L’objectif ? Soutenir l’économie numérique marocaine, attirer les géants du cloud et offrir une alternative verte aux data centers énergivores d’Europe ou d’Asie. Une première en Afrique, et un signal fort envoyé à tous ceux qui parient sur l’innovation made in Morocco.
Pourquoi c’est important ? Parce que le digital, c’est le pétrole du XXIᵉ siècle. Héberger ses données localement, c’est plus de souveraineté, plus de sécurité, et surtout, plus d’opportunités pour les jeunes talents marocains. Avec ce méga data center, le Maroc se positionne comme un hub incontournable pour le cloud, la fintech, l’IA et toutes les innovations qui font bouger le monde.
Côté environnement, c’est carton plein : zéro carbone, zéro charbon, que du soleil et du vent. De quoi inspirer d’autres pays africains, et prouver que tech et écologie peuvent faire bon ménage. Pour les entreprises marocaines, c’est aussi la promesse de services cloud plus rapides, plus fiables, et moins chers.
Du côté des autorités, le discours est clair : « Le Maroc veut être leader du digital en Afrique, et ce projet en est la preuve ». Les médias locaux et internationaux relaient massivement l’info, et les premiers investisseurs se montrent déjà intéressés.
Alors, Dakhla va-t-elle devenir le QG de la tech verte africaine ? Beaucoup l’espèrent. Ce data center pourrait attirer d’autres projets, booster la formation des jeunes, et pourquoi pas, donner envie à des géants comme Google, Amazon ou Microsoft de s’installer au Maroc. Reste à voir si la connexion internet suivra le rythme… et si d’autres villes marocaines oseront relever le défi.
Une chose est sûre : le Sahara ne sera plus jamais seulement un désert. À Dakhla, le futur s’écrit en vert et en digital. À suivre !
Dakhla, connue pour ses plages, ses kitesurfeurs et ses couchers de soleil, s’apprête à changer de dimension. La ville du Sud marocain va accueillir un data center géant, d’une capacité de 500 mégawatts, entièrement alimenté par des énergies renouvelables. Imaginez : des serveurs à perte de vue, boostés par le soleil du Sahara et les vents de l’Atlantique… Le rêve de toute startup écolo !
Ce data center, c’est un peu comme si la Silicon Valley débarquait à Dakhla, version green. L’objectif ? Soutenir l’économie numérique marocaine, attirer les géants du cloud et offrir une alternative verte aux data centers énergivores d’Europe ou d’Asie. Une première en Afrique, et un signal fort envoyé à tous ceux qui parient sur l’innovation made in Morocco.
Pourquoi c’est important ? Parce que le digital, c’est le pétrole du XXIᵉ siècle. Héberger ses données localement, c’est plus de souveraineté, plus de sécurité, et surtout, plus d’opportunités pour les jeunes talents marocains. Avec ce méga data center, le Maroc se positionne comme un hub incontournable pour le cloud, la fintech, l’IA et toutes les innovations qui font bouger le monde.
Côté environnement, c’est carton plein : zéro carbone, zéro charbon, que du soleil et du vent. De quoi inspirer d’autres pays africains, et prouver que tech et écologie peuvent faire bon ménage. Pour les entreprises marocaines, c’est aussi la promesse de services cloud plus rapides, plus fiables, et moins chers.
Du côté des autorités, le discours est clair : « Le Maroc veut être leader du digital en Afrique, et ce projet en est la preuve ». Les médias locaux et internationaux relaient massivement l’info, et les premiers investisseurs se montrent déjà intéressés.
Alors, Dakhla va-t-elle devenir le QG de la tech verte africaine ? Beaucoup l’espèrent. Ce data center pourrait attirer d’autres projets, booster la formation des jeunes, et pourquoi pas, donner envie à des géants comme Google, Amazon ou Microsoft de s’installer au Maroc. Reste à voir si la connexion internet suivra le rythme… et si d’autres villes marocaines oseront relever le défi.
Une chose est sûre : le Sahara ne sera plus jamais seulement un désert. À Dakhla, le futur s’écrit en vert et en digital. À suivre !