L'ODJ Média

Au niveau du ministère de la Justice, Rachid Ouadifi a été nommé directeur des Affaires civiles et des professions juridiques et judiciaires.

Au ministère de l’Aménagement du territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la ville (Département de l’Habitat et de la politique de la ville), Mohamed Karim Boulouiz a été nommé directeur de l’Ecole Nationale d’Architecture d’Oujda.

Au niveau du ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts (Département de l’Agriculture), Adil El Oufir a été nommé directeur des Ressources Humaines.

Au niveau du ministère du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire, Aicha Errifai a été nommée directrice de l’Office développement de la coopération.

Un an après son lancement, le service de visa électronique (e-visa) a permis le traitement de plus de 160.000 demandes et d’octroyer plus de 150.000 visas. On note que 55% de ces demandes ont émané de ressortissants israéliens désireux de passer leurs vacances au Maroc.

Pour le reste, l’Inde accapare 10% des visas électroniques émis, suivie du Nigéria (4,44%), de l’Égypte (4,41%), du Pakistan (3,5%) et de la Jordanie (2,7%). Depuis le lancement de ce service, quelque 110 nationalités en ont profité.

Plus de 3.400 marocains en situation irrégulière vivent dans l’incertitude en Turquie après l’échec de leur plan visant à traverser le fleuve qui sépare ce pays et la Grèce.

Les migrants marocains et ceux d’autres nationalités sont devenus une carte à jouer dans les mains des autorités turques, qui resserrent désormais l’étau sur eux après le réchauffement des relations du pays avec l’UE.

Alors que ces autorités transportaient elles même les migrants en bus vers les frontières grecques, les infos qui circulent récemment évoquent un possible rapatriement de tous les migrants en situation irrégulière en Turquie vers leurs pays d’origine.

Selon Aziz Ghali, l'affaire a eu lieu en 2019 et a été étouffée. Il a transmis au parquet les documents d'accusation qu'il a reçus. Il a été auditionné le 21 juillet par la BNPJ. Le ministère de la Santé déploie de son côté sa ligne de défense.

Le gouvernement marocain a annoncé, jeudi, son intention de légaliser les applications de transport routier comme Uber et Bolt, qui sont actuellement interdites dans le pays.

Le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, a déclaré lors d’une conférence de presse que le ministère des Transports allait lancer une étude pour réguler et encadrer le secteur.

L’entrée en scène des taxis Uber au Maroc a engendré des débats nourris concernant les conséquences sur l’industrie du taxi traditionnel.

Tandis que certains soulignent les avantages d’Uber, d’autres s’inquiètent des effets néfastes sur l’économie locale.