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Le programme "Go Siyaha", lancé par le ministère du Tourisme, continue de porter ses fruits. Lundi à Rabat, la ministre Fatim-Zahra Ammor a annoncé que 531 demandes ont été approuvées dans le cadre de ce dispositif d’accompagnement. Ce programme vise à soutenir les porteurs de projets innovants dans le secteur touristique, en leur offrant des financements, des formations et un accompagnement personnalisé.

"Go Siyaha" s’inscrit dans une vision globale de transformation du secteur touristique marocain. L’objectif est de dynamiser l’entrepreneuriat local tout en répondant aux nouvelles attentes des touristes, notamment en matière de durabilité et d’expériences authentiques. Ce programme contribue également à la création d’emplois, en particulier pour les jeunes et les femmes des zones rurales.


 

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Le secteur du tourisme marocain continue de briller sur la scène internationale, consolidant sa position comme l’un des piliers majeurs de l’économie nationale. Mardi, lors d’une intervention à la Chambre des représentants, la ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, Fatim-Zahra Ammor, a annoncé que les recettes touristiques en devises devraient dépasser les 110 milliards de dirhams (MMDH) en 2024. Ce chiffre impressionnant reflète une reprise spectaculaire après les turbulences causées par la pandémie de Covid-19 et les défis économiques mondiaux.
 

Cette performance s’appuie sur une série de mesures stratégiques adoptées par le gouvernement pour relancer le secteur. Parmi elles, la diversification des marchés émetteurs, l’amélioration des infrastructures touristiques et la promotion de nouvelles destinations au-delà des pôles classiques comme Marrakech ou Agadir. La ministre a également souligné le rôle clé des partenariats public-privé dans la mise en œuvre de ces projets structurants.


 

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Le 35ᵉ marathon international de Marrakech, qui se tiendra le 26 janvier, promet d’être un rendez-vous d’envergure mondiale. Plus de 15.000 coureurs sont attendus, dont 110 athlètes d’élite internationale. Parmi eux, des figures emblématiques comme les Kényans Kiptwara et Kelimu, et le Marocain Mohamed Reda El Aaraby.

Du côté des femmes, des athlètes renommées venues d’Éthiopie et du Maroc seront également de la partie. Cet événement, qualificatif pour les Championnats du monde prévus en septembre, propose une programmation variée : un marathon pour enfants, une course de 5 km et un “jour sans voiture”. Avec son climat idéal et ses ambitions élevées, Marrakech espère inscrire de nouveaux records à son palmarès.

Les ménages marocains tirent la sonnette d’alarme face à une envolée des prix des produits alimentaires à l’approche du Ramadan. Les augmentations touchent particulièrement le poulet, affiché entre 23 et 25 MAD/kg, ainsi que les légumes, tels que la tomate (10 à 13 MAD/kg) et les haricots (22 MAD/kg).

Le poisson, également prisé durant cette période, connaît des hausses similaires. Quant aux viandes rouges, elles demeurent inaccessibles pour de nombreuses familles, malgré les importations.

Cette flambée des prix alimente les critiques envers la gestion gouvernementale, avec des appels à renforcer le contrôle des fraudes, notamment sur des produits de base souvent manipulés dans des conditions sanitaires préoccupantes, aggravant la précarité des foyers les plus modestes.

Le Maroc, confronté à un retard significatif dans le déploiement de la 5G, voit s’éloigner d’importantes opportunités économiques. Malgré des engagements affichés par le gouvernement, des obstacles d’ordre organisationnel et technique freinent l’avancée du pays dans ce domaine. Cette situation nuit à sa compétitivité face à des pays voisins comme l’Égypte ou l’Afrique du Sud, qui ont déjà pris une longueur d’avance. En offrant des vitesses jusqu’à 10 fois supérieures à celles de la 4G et des applications innovantes, la 5G demeure au stade expérimental au Maroc. Pour rattraper ce retard, il est crucial de mobiliser des investissements conséquents et de mettre en place une stratégie claire de mutualisation des infrastructures, indispensables pour séduire les investisseurs étrangers.