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Le 7e Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) a livré ses premiers résultats. En voici les données essentielles.

La population légale au Maroc s’élève désormais à 36.828.330 habitants au 1er septembre 2024. 

Ces résultats figurent dans une copie de la note de présentation du projet de décret numéro 2-24-1009, relatif aux chiffres fixant le nombre de la population légale du Maroc, qui circule sur le web. L’adoption de ce texte est prévue lors du Conseil de presse de ce jeudi 7 novembre.

La population du Maroc a ainsi augmenté de 8,8%, soit 2.980.088 habitants de plus que lors du recensement de 2014. 

On apprend également de ces résultats préliminaires que le nombre total des ménages au Maroc est de 9.275.038, soit 1.961.232 ménages de plus qu’en 2014 (+26,82%).

Le Maroc compte par ailleurs 148.152 résidant sur son territoire selon la même source, en augmentation de 71,86% par rapport à 10 ans plus tôt (+61.946 habitants).

Le 12 novembre, Tanger accueillera la chanteuse de flamenco Rocío Márquez, accompagnée du producteur de musique urbaine Bronquio, pour leur spectacle « Tercer cielo ». Cet événement s’inscrit dans le cadre de la 3ème édition du programme culturel local, visant à promouvoir la diversité artistique et à enrichir l'offre culturelle de la ville.

L’événement renforce la position de Tanger comme un carrefour artistique, attirant des talents internationaux. Il pourrait stimuler le tourisme culturel et accroître les revenus des commerces locaux. Il offre également aux habitants une opportunité d’apprécier un mélange unique de flamenco traditionnel et de musique contemporaine, créant ainsi un pont entre les cultures.

Cet événement peut être comparé aux festivals de musique et aux spectacles qui cherchent à introduire des genres diversifiés, tels que le Festival de Fès des Musiques Sacrées du Monde qui mélange les cultures musicales.

Le spectacle « Tercer cielo » promet d’être un moment fort pour Tanger, enrichissant l’agenda culturel de la ville. L’impact de tels événements sur la scène culturelle locale pourrait encourager d’autres initiatives similaires à l’avenir.

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Les prix des tomates continuent leur ascension sur les étals marocains, atteignant sept dirhams le kilo. Cette hausse imprévue suscite l’indignation des consommateurs, qui espéraient une baisse après des semaines de volatilité des prix. L’augmentation s’explique par plusieurs facteurs, notamment des difficultés d’approvisionnement et des coûts de production accrus.

Cette flambée des prix met en lumière la fragilité de la chaîne d’approvisionnement alimentaire et la pression sur le pouvoir d’achat des ménages. Elle pousse les autorités à envisager des mesures pour réguler le marché et protéger les consommateurs. La colère monte parmi la population, exacerbant les inégalités et alimentant la méfiance envers les politiques économiques.

Des hausses similaires ont été observées dans d'autres pays du Maghreb, comme en Algérie, où l’inflation alimentaire a provoqué des mouvements sociaux. À l’échelle mondiale, l’inflation des denrées alimentaires reste un défi dans des pays tels que le Liban et l’Égypte.

Stabiliser le marché des produits alimentaires nécessite des réformes structurelles et un soutien accru aux agriculteurs. Les incertitudes liées aux aléas climatiques et aux tensions géopolitiques continueront d’influencer les prix.


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Les citoyens marocains peuvent désormais voyager vers 71 pays sans visa préalable en 2025, selon les derniers classements de l’indice Henley et du Passport Index. Le passeport marocain se positionne à la 71e place du classement Henley, offrant une liberté de voyage accrue.

Réagissant à la grève ouverte annoncée par les avocats marocains sur le projet de loi de procédure civile, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a affirmé que « la porte du dialogue n’est pas fermée et attend un appel du président de l’Association des barreaux du Maroc (ABAM) ». Ouahbi a fait savoir, dans une déclaration au quotidien, qu’il était « prêt, avec les membres de la Commission de la justice et de la législation de la Chambre des représentants, à s’asseoir pour négocier », déclarant son refus de « poser des conditions préalables à la négociation ». Dans ce contexte, le ministre a souligné qu’il « continuera à défendre son point de vue dans les projets de loi qu’il a élaborés ».