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Fez : Le réseau de spoliation de terres publiques et privées par usage de faux  07/04/2024

 Le juge d'instruction près de la Chambre criminelle de première instance de Fès, chargé de statuer sur les délits financiers, a achevé les procédures d'enquête approfondies sur le dossier de ce qui est appelé «le réseau de spoliation de terres publiques et privées par usage de faux».

Dans cette affaire, 37 personnes sont poursuivies, parmi lesquels un adoul, un conseiller et des employés communaux ainsi qu'un juge, et bien d'autres. Tous sont accusés de crimes et délits qui varient d'un cas à l'autre : le plus extrême étant la constitution d'une bande criminelle, la falsification d’actes officiels, administratifs, coutumiers.

Cinq d’entre eux font face à des accusations liées à la fraude et à la tromperie

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Une cellule terroriste de cinq partisans de Daesh a été démantelée

Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) a démantelé, vendredi 3 mai, une cellule terroriste composée de cinq éléments partisans de l’organisation terroriste Daesh pour leur implication présumée dans la préparation de l’exécution de plans terroristes visant à porter gravement atteinte à l’ordre public.

Les mis en cause, âgés entre 22 et 46 ans, ont été interpellés par les éléments de la force spéciale relevant de la DGST à Casablanca, Tanger, Tétouan, Martil et à la commune rurale Ounagha dans la province d’Essaouira, indique un communiqué du BCIJ, précisant que les détails de leurs projets terroristes ont été dévoilés suite aux recherches et investigations entamées par les services de la DGST.

Les premiers éléments de l’enquête ont révélé que les suspects, qui ont prêté allégeance au soi-disant califat de l’organisation Daesh, ont exprimé leur intention d’exécuter des projets terroristes visant des installations vitales et des institutions sécuritaires, parallèlement à leur adhésion à des campagnes incitant à la violence, selon la même source.

Les mêmes recherches ont démontré que l’un des membres de cette cellule terroriste, qui a des connaissances dans le domaine électronique, a planifié la fabrication d’engins explosifs, souligne le communiqué.

Les membres de cette cellule terroriste ont été placés en garde à vue pour les besoins de l’enquête judiciaire menée par le BCIJ sous la supervision du parquet chargé des affaires du terrorisme, en vue d’élucider la nature des liens de cette cellule terroriste et identifier ses plans et projets destructeurs, conclut la même source.





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