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Le Trésor dégage un besoin de financement de l’ordre de 17,7 MM.DH 19/03/2023
La situation des charges et ressources du Trésor à fin février par le 2023, telle que communiqué par le département des Finances, fait ressortir un déficit budgétaire de 10,6 MM.DH, comparable à celui de la même période de 2022 (-10,4 MM.DH). Cette évolution recouvre une augmentation des dépenses de 4,5 MM.DH et des recettes de 4,2 MM.DH.
Compte tenu de ces évolutions et d’une réduction des opérations en instance de 7 MM.DH, la situation des charges et ressources du Trésor dégage un besoin de financement de l’ordre de 17,7 MM.DH.
Lequel besoin, précise-t-on de même source. a été couvert majoritairement par le recours au marché de la dette intérieure à hauteur de 12 MM.DH, représentant près de 24 % du flux global de l’endettement intérieur de 51,1 MM.DH réalisé à fin février 2023 et, dans une moindre mesure, par l’augmentation des dépôts au Trésor de 4,4 MM.DH et la mobilisation de financements extérieurs pour un montant net de 718 M.DH,
Compte tenu de ces évolutions et d’une réduction des opérations en instance de 7 MM.DH, la situation des charges et ressources du Trésor dégage un besoin de financement de l’ordre de 17,7 MM.DH.
Lequel besoin, précise-t-on de même source. a été couvert majoritairement par le recours au marché de la dette intérieure à hauteur de 12 MM.DH, représentant près de 24 % du flux global de l’endettement intérieur de 51,1 MM.DH réalisé à fin février 2023 et, dans une moindre mesure, par l’augmentation des dépôts au Trésor de 4,4 MM.DH et la mobilisation de financements extérieurs pour un montant net de 718 M.DH,
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Vaccin AstraZeneca, l’Etat Marocain condamné à payer 250.000 DH
Le tribunal administratif de Rabat a condamné l’Etat à dédommager une citoyenne victime d’effets secondaires liés à l’injection du vaccin AstraZeneca.
Ce jugement, une première au Maroc, a été rendu le 9 février 2024. Il ordonne à l’Etat de payer 250.000 DH à la demanderesse. Cette professeure universitaire avait saisi le tribunal en juin 2022, invoquant des complications graves en lien avec l’administration du vaccin, alors obligatoire à l’époque de la crise sanitaire du Covid-19.
Selon les données disponibles sur le suivi du procès, le tribunal administratif a ordonné une expertise bipartite avant de se prononcer en faveur de la requérante
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