Selon les autorités, cette nouvelle mesure vise à assurer une disponibilité suffisante de la denrée dans un contexte où les pluies de moussons tardives, mais abondantes ont causé des dommages importants aux cultures. Elle devrait en outre permettre d’atténuer la hausse des prix au détail de la denrée sur le marché local. Ils ont en effet grimpé de 11,5 % au cours des 12 derniers mois.
Alors que dans le pays asiatique une interdiction frappant les expéditions de riz brisés est en vigueur depuis le 9 septembre 2022, les autorités anticipent désormais une réduction de près de 45 % des exportations totales de la filière indienne évaluée à 22 millions de tonnes par an. Ceci dans un contexte où le riz brisé et le riz blanc non-basmati comptent pour 10 millions de tonnes dans les envois de riz indien sur le marché international.
Plus largement, cette nouvelle restriction commerciale de l’Inde suscite des craintes d’une nouvelle inflation sur les marchés alimentaires mondiaux où le niveau élevé des cours du riz constituait déjà une préoccupation pour la communauté internationale.
Alors que dans le pays asiatique une interdiction frappant les expéditions de riz brisés est en vigueur depuis le 9 septembre 2022, les autorités anticipent désormais une réduction de près de 45 % des exportations totales de la filière indienne évaluée à 22 millions de tonnes par an. Ceci dans un contexte où le riz brisé et le riz blanc non-basmati comptent pour 10 millions de tonnes dans les envois de riz indien sur le marché international.
Plus largement, cette nouvelle restriction commerciale de l’Inde suscite des craintes d’une nouvelle inflation sur les marchés alimentaires mondiaux où le niveau élevé des cours du riz constituait déjà une préoccupation pour la communauté internationale.
La Thaïlande s’impose aujourd’hui comme le principal fournisseur de riz du Maroc.
Selon un rapport du département de l’agriculture américain, l’USDA, la production de riz au Maroc est de 45 200 tonnes en 2021-2022 et la Thaïlande est le premier partenaire marocain ainsi, les exportations de riz de la Thaïlande vers le Maroc sont évaluées à 60 000 tonnes pour 2021-2022
7% de croissance pour le riz marocain. En terme de production, ce sont les chiffres mis en avant par l’USDA, cette dernière indique que les conditions météorologiques favorables ont bénéficié aux riziculteurs du Royaume.
L’USDA précise toutefois que « Le riz n’est pas un aliment de base au Maroc et la consommation n’a pas augmenté de manière significative ces dernières années, les consommateurs continuant d’opter pour le blé panifiable, le couscous et les légumes »
7% de croissance pour le riz marocain. En terme de production, ce sont les chiffres mis en avant par l’USDA, cette dernière indique que les conditions météorologiques favorables ont bénéficié aux riziculteurs du Royaume.
L’USDA précise toutefois que « Le riz n’est pas un aliment de base au Maroc et la consommation n’a pas augmenté de manière significative ces dernières années, les consommateurs continuant d’opter pour le blé panifiable, le couscous et les légumes »