Si cette décision ne rend pas les interruptions volontaires de grossesse illégales, elle renvoie néanmoins le pays à la situation en vigueur il y a près d’un demi-siècle : chaque État était alors libre d’interdire ou d’autoriser les avortements, sans même prévoir d’exceptions pour les viols ou l’inceste.
Ces dernières années, des États avaient déjà adoptés des lois très restrictives à propos de l’avortement : par exemple, la Louisiane prévoyait jusqu'alors jusqu’à 10 ans de prison pour les professionnels de santé pratiquant une IVG. 13 États avaient également mis en places des lois dites "zombies" ou "gâchettes", c'est-à-dire qu'elles interdisaient l'avortement mais ne pouvaient entrer en vigueur qu'au moment de la décision finale de la Cour suprême.
Une douzaine d'autres États pourraient suivre avec des interdictions totales ou partielles.
Dans les prochaines semaines, de nombreuses cliniques pratiquant l'IVG pourraient également être définitivement fermées.
Source : https://www.topsante.com/medecine/gyneco/ivg/ivg-e...
Ces dernières années, des États avaient déjà adoptés des lois très restrictives à propos de l’avortement : par exemple, la Louisiane prévoyait jusqu'alors jusqu’à 10 ans de prison pour les professionnels de santé pratiquant une IVG. 13 États avaient également mis en places des lois dites "zombies" ou "gâchettes", c'est-à-dire qu'elles interdisaient l'avortement mais ne pouvaient entrer en vigueur qu'au moment de la décision finale de la Cour suprême.
Une douzaine d'autres États pourraient suivre avec des interdictions totales ou partielles.
Dans les prochaines semaines, de nombreuses cliniques pratiquant l'IVG pourraient également être définitivement fermées.
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