Entretien avec KARIM BOUMEDIENE, inventeur des pomme décellularisées comme support pour la reconstruction de cartilage humain
Fabriquer du cartilage humain à partir de pommes : l’audace scientifique de Karim Boumédiene
SAWTI by TIZI : une plateforme pour redonner voix et place à la jeunesse marocaine
ZLECAf : Marrakech confirme l’ambition du Maroc de devenir un hub économique africain
L’Agence Nationale des Ports : Une Vision portuaire en évolution, mais des défis persistants
Dakhla accélère : trois projets logistique stratégiques
Istiqlal : un Conseil national sous le signe de l’unité nationale, des chantiers sociaux et de l’enjeu électoral
Sans commentaire
Achraf Hakimi : Une visite marquante au Complexe Hospitalo-Universitaire Mohammed VI de Rabat
Hommage à Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa à l’occasion de Son anniversaire
Abdelkabir Zahoud DG de la SNED 04/11/2022
Le Conseildu gouvernement a approuvé la nomination d’Abdelkabir Zahoud en tant que directeur général de la Société nationale d’études du détroit de Gibraltar (Sned).
Nomination au ministère des Finances 04/11/2022
Au niveau du ministère de l’Economie et des Finances, Abdellatif Amrani a été nommé directeur général de l’Administration des douanes et impôts indirects (ADII), Nabil Lakhdar, secrétaire général du ministère et Younes Idrissi Kaïtouni, directeur général de la Direction générale des impôts (DGI)
Stress hydrique : Les eaux du Sebou pour Casablanca et Rabat 03/11/2022
Les eaux du Sebou pour «secourir» Casablanca et Rabat.
Le gouvernement a accordé une enveloppe de 6 milliards de dirhams pour un projet de déviation des eaux du bassin du Sebou vers celui du Bouregreg à travers une interconnexion.
Un délai de 10 mois a été accordé à la réalisation du projet qui vise à épargner à Casablanca et à Rabat le «spectre de la soif» qui plane sur environ 10 millions de personnes.
Le bassin du Bouregreg est victime d’une exploitation intensive due à l’élargissement des surfaces cultivées dans son périmètre, ce qui a abouti à des perturbations d’approvisionnement en eau des communes avoisinantes.
Le gouvernement a accordé une enveloppe de 6 milliards de dirhams pour un projet de déviation des eaux du bassin du Sebou vers celui du Bouregreg à travers une interconnexion.
Un délai de 10 mois a été accordé à la réalisation du projet qui vise à épargner à Casablanca et à Rabat le «spectre de la soif» qui plane sur environ 10 millions de personnes.
Le bassin du Bouregreg est victime d’une exploitation intensive due à l’élargissement des surfaces cultivées dans son périmètre, ce qui a abouti à des perturbations d’approvisionnement en eau des communes avoisinantes.
Certaines zones agricoles privées des eaux des barrages tant que les retenues seront faibles 03/11/2022
Les zones agricoles des provinces de Tadla et d’Al Haouz et des régions de Doukkala et Draa-Tafilalet ne seront pas irriguées à partir des barrages avoisinants tant que les taux de remplissage de ces retenues d’eau ne s’amélioreront pas.
L’intervention de Mohammed Sadiki, ministre de l’Agriculture, lors d’une session de questions orales à la Chambre des conseillers, ce mardi 1er novembre, a permis de faire le point sur la dotation à l’irrigation et sur le bilan de la production animalière.
Dans un premier temps, le ministre a indiqué que la campagne agricole actuelle démarrait dans des conditions très difficiles “à cause de la succession des années de sécheresse et du déficit enregistré en matière de ressources hydriques”.
Mohammed Sadiki a précisé que ce “manque de précipitations, dont le déficit atteint 45% par rapport à une année de précipitations normales, impacte la campagne agricole”. À la date du 1er octobre, les précipitations enregistrées ont atteint 21,8 mm.
En conséquence, les barrages agricoles ont un taux de remplissage d’à peine 24% (3,2 MMm³). Soit une baisse de 32% par rapport à l’année dernière. “Au vu de ce stress hydrique, la dotation à l’irrigation atteindra 533 Mm³”, a indiqué Mohammed Sadiki.
“La décision d’arrêter d’irriguer les plantations à partir des barrages agricoles a été appliquée dans les zones agricoles des provinces de Tadla et d’Al Haouz et dans les régions de Doukkala-Abda, Souss-Massa (Issen) et Draa-Tafilalet, en attendant l’amélioration des taux de remplissage des barrages”, ajoute-t-il. Des autorisations pour le pompage à partir des nappes phréatiques seront accordées après dérogation.
Cette décision pourrait mettre en péril la campagne agricole actuelle car les régions concernées sont productrices notamment de fruits, de céréales et de légumineuses.
L’intervention de Mohammed Sadiki, ministre de l’Agriculture, lors d’une session de questions orales à la Chambre des conseillers, ce mardi 1er novembre, a permis de faire le point sur la dotation à l’irrigation et sur le bilan de la production animalière.
Dans un premier temps, le ministre a indiqué que la campagne agricole actuelle démarrait dans des conditions très difficiles “à cause de la succession des années de sécheresse et du déficit enregistré en matière de ressources hydriques”.
Mohammed Sadiki a précisé que ce “manque de précipitations, dont le déficit atteint 45% par rapport à une année de précipitations normales, impacte la campagne agricole”. À la date du 1er octobre, les précipitations enregistrées ont atteint 21,8 mm.
En conséquence, les barrages agricoles ont un taux de remplissage d’à peine 24% (3,2 MMm³). Soit une baisse de 32% par rapport à l’année dernière. “Au vu de ce stress hydrique, la dotation à l’irrigation atteindra 533 Mm³”, a indiqué Mohammed Sadiki.
“La décision d’arrêter d’irriguer les plantations à partir des barrages agricoles a été appliquée dans les zones agricoles des provinces de Tadla et d’Al Haouz et dans les régions de Doukkala-Abda, Souss-Massa (Issen) et Draa-Tafilalet, en attendant l’amélioration des taux de remplissage des barrages”, ajoute-t-il. Des autorisations pour le pompage à partir des nappes phréatiques seront accordées après dérogation.
Cette décision pourrait mettre en péril la campagne agricole actuelle car les régions concernées sont productrices notamment de fruits, de céréales et de légumineuses.
Registre Social Unifié : 5.000 auxiliaires d’autorité pour recenser les plus pauvres. 03/11/2022
Le gouvernement prévoit de mobiliser et de former près de 5.000 auxiliaires d’autorités, et d’aménager environ 1.500 centres pour le recensement des catégories vulnérables.
L’opération s’inscrit dans le cadre de la généralisation du Registre national de la population , avant fin 2022, et du Registre social unifié avant fin 2023 .
Ceci permettra de lancer l’opération d’attribution des allocations familiales aux personnes éligibles, parallèlement à la réforme de la compensation et à la révision des programmes sociaux actuels.
L’opération s’inscrit dans le cadre de la généralisation du Registre national de la population , avant fin 2022, et du Registre social unifié avant fin 2023 .
Ceci permettra de lancer l’opération d’attribution des allocations familiales aux personnes éligibles, parallèlement à la réforme de la compensation et à la révision des programmes sociaux actuels.
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