L'ODJ Média

À Casablanca, la crise des déchets s'aggrave, touchant désormais la rue Bir Anzarane après Mediouna. Les résidents se plaignent des odeurs nauséabondes et de l'accumulation des ordures, dénonçant l'inaction des autorités locales.

Entre protestations sur les réseaux sociaux et demandes d'intervention urgente, la situation devient critique.

Cette crise relance le débat sur la gestion des déchets dans la métropole et les solutions durables à envisager pour éviter de futurs débordements.

Le Maroc se prépare à faire face à une série d’intempéries violentes, avec une alerte spéciale émise pour les régions montagneuses et désertiques en raison du risque d’inondations et d’éboulements causés par des tempêtes soudaines.

Les autorités ont renforcé les dispositifs de surveillance météorologique pour anticiper ces événements, qui illustrent la nécessité d’adapter les infrastructures locales aux conséquences du changement climatique. La population est encouragée à respecter les consignes de sécurité et à suivre les mises à jour.

Environ 15 000 citoyens mauritaniens ont investi dans l'immobilier au Maroc, représentant près de 600 milliards de francs CFA en dépenses. Ce phénomène est encouragé par la stabilité économique du Maroc et sa proximité culturelle avec la Mauritanie.

Les villes de Casablanca, Marrakech, et Tanger sont particulièrement prisées pour leurs opportunités d'investissement et leur cadre de vie agréable.

Cette tendance illustre le renforcement des relations économiques entre les deux pays et la confiance accrue des investisseurs étrangers dans le marché immobilier marocain.

Le Conseil de la concurrence marocain a écarté le risque d'une spirale salaires-prix dans son dernier rapport, rassurant ainsi sur la stabilité économique du pays.

Le rapport souligne un phénomène de "cupidflation", où certaines entreprises augmentent leurs marges en profitant de la hausse des prix, aggravant les difficultés des consommateurs.

Le Conseil recommande une vigilance accrue et des contrôles pour prévenir ces pratiques et garantir une concurrence équitable, tout en protégeant le pouvoir d'achat et stimulant l'économie face à l'inflation mondiale.

L'artiste amazighe marocaine, Fatima Zahraa Tahihit, a décliné une offre lucrative pour se produire en Israël, affirmant que même une somme d'argent considérable ne la ferait pas renoncer à ses principes.

Invitée dans un talk-show, elle a expliqué que sa décision est motivée par des convictions profondes, refusant de cautionner toute normalisation avec Israël.

Ce geste, salué par une partie de l'opinion publique, souligne sa position intransigeante sur la question palestinienne. La décision de Tahihit reflète les tensions politiques et culturelles persistantes entre le Maroc et Israël, et s'inscrit dans un contexte où de nombreux artistes marocains prennent position sur des sujets sensibles de l'actualité internationale.